Laurence
Laurence est bénévole à la centrale alimentaire de Lausanne depuis septembre 2020. Elle apporte un soutien administratif aux collaborateurs.rices ainsi qu’aux apprentis et personnes en insertion. Désireuse d’aider localement, elle a également rejoint la mesure DUO sur Morges en apportant de l’aide à des bénéficiaires sur le plan administratif et personnel. Elle les accompagne sur le terrain de l’insertion sociale exerçant un travail de transmission d’expériences et de connaissances.
Qu’est-ce qui vous a décidée à faire du bénévolat chez Caritas Vaud ?
Depuis toute petite, je me suis toujours sentie différente. J’ai une cécité à un œil qui m’a fait grandir plus vite que les autres. Ayant subi plus de 15 opérations, je connaissais les couloirs de l’hôpital comme ma poche. Cet univers ne me faisait pas peur, le personnel hospitalier était bienveillant avec moi et c’est à ce moment que j’ai ressenti le réel besoin de créer des contacts et des liens avec les gens.
Cette épreuve ne m’a pas empêchée de suivre les cours normalement, loin de là. J’ai continué mes études et ai suivi des études de psychologie à l’Université et ai rejoint une association pour malvoyants. Après un travail d’assistante sociale, j’ai suivi mon mari qui a été muté en Suisse.
Ayant un peu de temps libre dans mon emploi du temps, je me suis penchée sur le bénévolat car je voulais rendre ce que j’avais reçu lors de mon enfance. Des personnes avaient été présentes lorsque j’en avais besoin, de ce fait je voulais faire pareil. Je m’occupais déjà de ma grand-mère malade et à son décès, j’ai ressenti le besoin de faire plus pour des inconnu.e.s. Un jour, en me baladant sur Facebook, j’ai vu une annonce pour le poste bénévole d’aide administrative à la centrale alimentaire et je me suis lancée.
Qu’est-ce que votre activité vous apporte au niveau personnel ?
Honnêtement, c’est du pur égoïsme. Un réel bien être. J’ai besoin de travailler et de collaborer avec des personnes et cela m’enrichit jour après jour.
Que pensez-vous apporter aux autres grâce à votre travail ?
Je suis quelqu’un de très positif. De ce fait, je pense que j’insuffle beaucoup de joie et d’optimisme autour de moi. Grâce à mon expérience de vie, je ne me pose pas de limite et mon mantra est de ne jamais dire jamais.
Depuis toute petite, je me suis toujours sentie différente. J’ai une cécité à un œil qui m’a fait grandir plus vite que les autres. Ayant subi plus de 15 opérations, je connaissais les couloirs de l’hôpital comme ma poche. Cet univers ne me faisait pas peur, le personnel hospitalier était bienveillant avec moi et c’est à ce moment que j’ai ressenti le réel besoin de créer des contacts et des liens avec les gens.
Cette épreuve ne m’a pas empêchée de suivre les cours normalement, loin de là. J’ai continué mes études et ai suivi des études de psychologie à l’Université et ai rejoint une association pour malvoyants. Après un travail d’assistante sociale, j’ai suivi mon mari qui a été muté en Suisse.
Ayant un peu de temps libre dans mon emploi du temps, je me suis penchée sur le bénévolat car je voulais rendre ce que j’avais reçu lors de mon enfance. Des personnes avaient été présentes lorsque j’en avais besoin, de ce fait je voulais faire pareil. Je m’occupais déjà de ma grand-mère malade et à son décès, j’ai ressenti le besoin de faire plus pour des inconnu.e.s. Un jour, en me baladant sur Facebook, j’ai vu une annonce pour le poste bénévole d’aide administrative à la centrale alimentaire et je me suis lancée.
Qu’est-ce que votre activité vous apporte au niveau personnel ?
Honnêtement, c’est du pur égoïsme. Un réel bien être. J’ai besoin de travailler et de collaborer avec des personnes et cela m’enrichit jour après jour.
Que pensez-vous apporter aux autres grâce à votre travail ?
Je suis quelqu’un de très positif. De ce fait, je pense que j’insuffle beaucoup de joie et d’optimisme autour de moi. Grâce à mon expérience de vie, je ne me pose pas de limite et mon mantra est de ne jamais dire jamais.
